A force de vouloir
Tout avoir
On fini par rien avoir
A force de vouloir construire
On fini par se détruire
On rêve de pouvoir
En évitent de croiser
Le désespoir
On fini par être le patient
De l’espoir
En guise de sourire
On a la pitié qui nous
Marque dans l’histoire
Merde oublions un peu
Les tremplins du ghetto
Souriez au monde n’oublier pas que
Les plus grands sons sortis
D’ ses murs de bétons
Et nous ont offert le savoir
Et le devoir de les honorés
En réussissant à semé
Ce qui nous on laissé
Arrêtons de nous plaindre
Avançons sans craindre
Ce qui sont a un plaindre

Ce matin là, papa était rayonnant
Il a pris son flingue ma chuchoté je t’aime
Ce matin là maman pleuré comme
Si papa parte en guerre et
Qu’il n’aillait jamais revenir
J’étais devenu admiratif du regard vif
Et de la présence de cet homme
Qui ma donné vie et qui refusé
De se sentir inferieur face à l’homme blanc
Qui n’accepter pas nos couleurs
Face a ses Hommes qui priés Dieu
En oubliant de respecté ce qu’il a crée
Je devenais presque athée à l’ai regardé priés
Mais maman ma dis un jour que Dieu
Mettais à l’épreuve que les plus aimés
Alors j’aimé vivre sans vivre dans ce pays
Qu’on appel l’Amérique !
J’ai appris à manié les mots plus que les armes
J’ai appris à exister et a retracer le passé de mes
Ancêtres dont on a oublié le dur passé

Il est assis sur l’horizon crois que
La femme et sous sa domination
Pauvre idiot tous dans le caleçon
Rien dans le cerveau
Macho jusqu'à en oublier la raison
Il croit que dans tous les cas il a raison
Les cheveux trempés de gel
Le sourire blanc ; les lèvres mouilles
Le macho se croit grand et beau
Oublie que les gens futé le trouvent con

Les bimbos c'est les seules a le trouvé beau
En boite il fait l’fière en croyant que la boite et a son père
Quelques petits mensonges ici et la qu’il invente

pour draguer une femme de son niveau Et le voila dans ses songes une épée à la main

 défiant les plus terrifiant une tapote sur le dos

et le revoilà revu sur terre pour un dernier pas de dance

et un dernière verre levé en l’air pour dire qu’il est le seul à plaire !

Il rentre jette ses clés se retrouve seul face a ses murs

comme tous les soirs et pleure de peur de finir seul sans sa paire
Et oui macho il est et con il le restera il lui a quand même fallu un grain

 d ’pensée pour se rendre compte que macho il est mais homme il le sera jamais

s'il continue à percer dans ça lancer !

Excuser moi pour ce qui va suivre
J’ai tenté de raisonner
Ma plume elle refuse de m’écouter
Elle a pris mon cœur pour narrateur
Et me désarme de mes droits
D’auteur.
Voila ce que je n’ose pas vous dire
Ce que je n’osé pas écrire par peur
De blesser les plus sensibles
Qui sont pris pour cible
Dans ce récit.
Excuser moi pour ce qui va suivre
J’ai tenté de raisonner
Ma plume elle refuse de m’écouter
Laisser moi vous dire
Puisse qu’à l’heure où je vous écris
Je ne suis qu’une voix prisonnière
Et je n’ais pas de frontières
Pour empêcher la vérité de médité
Avant de sortir vous dire
Ce que je pense de vous
Vous êtes tous des incroyants
Des hypocrites faites pas semblant
De ne pas vous reconnaître dans mes écris
Vous avez tous étais abominable,
Méprisable Voir exécrable
Vous madame !
Presser
Avec un regard foncé
Vous êtes souvent passé
Devant un sdf sans lui lâcher
Un regard sensé
Et charger d’émotion inexpliquée
Je suis déjà fatigué de vous expliquée
Qu’il suffit de peu pour cajolé
Le cœur d’un homme blessé
Excuser moi pour ce qui va suivre
J’ai tenté de raisonner
Ma plume elle refuse de m’écouter
Et vous Mr. Ronger par l’anxiété
De voir un jour votre fille Sofia
Épouser un homme de couleur
A croire que c’est un malheur
Arrêter de croire que le cœur
Peu choisir sa destiné
Sofia efface ta douleur
Tes pleurs et sourie d’bonheur
Papa va bannir ces horreurs
C’est mythe sur l’homme de couleur
Et va enfin percevoir ISSA
A sa juste valeur
Excuser moi pour ce qui va suivre
J’ai tenté de raisonner
Ma plume elle refuse de m’écouter
Voila qu’elle me prend pour cible
Tu es faible
Yasmine
Et heureusement que ce soir
Tu viens slamé le cœur conquit par l’islam qui lui a enseigné
De spéculé avant d’affirmé ce qu’elle est venu rimer
Mais ce n’est pas tous
Je me lance en impro délaisse ma plume le temps
D’une réplique lyrique
L’islam a conquit mon âme de femme
La bible ma initier a aimé les moins aimé
La Tora ma appris la tolérance
C’est grâce à ça que j’avance
Avec grâce malgré mon impuissance
Face à ce qui traite ma face
Sans réfléchir aux conséquences
De sale race !

On en rie on en pleur
On s’en console
Il est devenu le seul combat de l’homme
Il est reconnu comme étant le remède
Du mortel qui rêve de se voir renaitre
A travers l’alchimie il fait naitre
L’espoir la ou il na pas lieu d’être
On en rie on en pleur
On s’en apaise
Il est la raison de beaucoup d’homme
Il est l’ennemi et l’ami des millions d’homme
Il est si tendre avec les misérables
Et si dur envers les vulnérable
Mais il agit de la sorte
Pour mieux consoler le vulnérable
Et ronger jusqu’à une douleur incurable
Le misérable
On en rie on en pleur on
S’en réconforte
Il est cité dans toutes les religions
Il est vu sur tous les visages sages
Il est entendu dans toutes les mosquées
Il est senti dans toutes les synagogues
Il est approuvé dans toutes les églises
Il est sans contestation le seul à les unirent